«Conduis mes pensées mortes de par l’univers,
Telles feuilles fanées pour hâter la nouvelle
Naissance ! Puis, par l’incantation de ces vers,
Disperse, comme d’un foyer inextinguible
Cendres et étincelles, mes mots parmi les hommes !
Sois à travers mes lèvres, pour la Terre endormie,
La trompette d’une prophétie !»
Ode au vent d’Ouest